Ibn Rushd défend la position selon laquelle la révélation coranique et la métaphilosophie aristotélicienne sont les deux facettes de la Vérité unique. Aux lecteurs attentifs du Discours décisif, il suggère que la supériorité de cette métaphilosophie se manifeste par le fait que ce sont les concepts mêmes d’Aristote qui permettent de rendre compte des débats entre philosophes.