Surnaturel d’Henri de Lubac est présenté dans son essentielle « ambivalence » : d’un côté, son indéniable fécondité pour la théologie contemporaine ; de l’autre, des thèses discutables (quoique peu discutées) que ce grand livre génère plus ou moins malgré lui. Fécondité et ambiguïté en théologie fondamentale, en anthropologie, épistémologie, et jusque dans le dialogue interreligieux.